Introduction — Une quête, une passion
Derrière SkyX se cache une obsession de longue date : créer. Une passion précoce pour le dessin, la narration, l’imaginaire. Très tôt, il était évident que l’envie de construire des mondes et de raconter des histoires allait guider chaque étape de ce parcours. SkyX est né de ce besoin profond d’inventer, de transmettre, de faire ressentir.
Derrière ce nom, une figure discrète mais essentielle : SkyXon, passionné dès l’enfance par l’illustration et l’univers du jeu vidéo.
Les premiers pas — De l’art au jeu vidéo
Avant les lignes de code, il y avait les carnets griffonnés, les bandes dessinées créées à la main, les univers entiers couchés sur papier. Puis est venue une découverte fondatrice : le jeu vidéo. S’il faisait rêver, il laissait parfois un sentiment d’inachèvement. Cette frustration a nourri une envie : celle de créer des expériences à part entière, fidèles à une vision intime, singulière.
L’autodidaxie — Apprendre seul, s’armer de patience
Pas d’école, pas de réseau. Seulement une volonté farouche d’apprendre. L’exploration a commencé par Unreal Engine, UEFN, le développement web. Chaque soirée, chaque week-end a été une occasion de progresser. Comprendre le fonctionnement d’un moteur de jeu, corriger un bug tenace, construire une interface, maîtriser la communication digitale, produire du contenu engageant…
C’est ainsi qu’a pris forme une méthode solide et exigeante, forgée dans la pratique. Des expériences dans la gestion de communauté et la création de contenu sont venues enrichir ce socle.
La naissance de SkyX Creative — Une équipe, une famille
Dès ses débuts, SkyX Creative s’est imposé comme un projet porté par une volonté claire : rassembler des talents autour d’une vision partagée. L’objectif était de faire les choses sérieusement, même avec peu d’expérience. Le travail a été mené avec rigueur, dans un esprit de camaraderie et d’engagement.
Une équipe soudée, réunie par la passion, sans hiérarchie rigide, mais avec une direction solide et assumée. SkyXon en était déjà le chef de file, insufflant une ligne claire malgré la jeunesse du projet.
SkyX Games — Le studio indépendant
SkyX Games est né d’un besoin de renouveau. Avec les bases acquises grâce à SkyX Creative, il était temps de recommencer sur des fondations solides. Un site web, des adresses e-mail professionnelles, des collaborateurs actifs, des contacts établis… Tout a été repensé pour construire un véritable studio indépendant, structuré et ambitieux.
Le programme Métave symbolise cette nouvelle phase : un écosystème pensé pour les créateurs, au service de la liberté artistique. SkyX Games, c’est l’étape suivante d’une vision affinée, professionnelle, prête à se déployer.
Des projets majeurs — Ghost Hunter, Grand Life City, SkyX Reload & Starlight
Ghost Hunter propose une chasse aux fantômes coopérative et immersive, à la fois rythmée et accessible. Grand Life City ambitionne de renouveler l’expérience RP avec un monde ouvert plus humain, plus réaliste, plus proche des joueurs. SkyX Reload repousse les limites visuelles avec une approche next-gen. Starlight introduit un univers poétique et contemplatif.
Tous ces projets ont un point commun : viser plus haut. Tant au niveau graphique que conceptuel, ils sont le reflet d’une volonté de repousser les standards et d’ouvrir la voie à une nouvelle génération d’expériences.
La vision — Au-delà du jeu
SkyX Games, c’est plus qu’un studio. C’est une façon d’aborder la création comme un acte sincère, collectif, exigeant. Un engagement à innover, à rester fidèle à des convictions : la liberté créative, la mise en valeur des talents, la détermination à ne jamais renoncer.
Ce qui rend SkyX Games unique, c’est cette capacité à rêver grand tout en restant ancré. Derrière cette vision, un nom résonne : SkyXon. Une figure discrète mais déterminée, moteur de cette aventure ambitieuse.
Conclusion — Un voyage en cours
SkyX Games n’en est qu’aux premières pages de son histoire. Mais le chemin est déjà marqué par la passion, la résilience et une communauté naissante. L’aventure continue, et elle n’attend qu’une chose : être partagée
❮
❯